Vendredi 8 mars a eu lieu la journée internationale de lutte pour les droits des femmes. C’est l’occasion de vous raconter cette journée au Pérou et où en est la lutte pour les droits des femmes dans le pays, avec un fort parti-pris, le mien, celui d’une femme qui a envie que ces droits progressent.
Le pisco est au Pérou ce que le rhum est à Cuba : une boisson emblématique. Il s’agit d’un alcool de raisins du même type que le cognac, mais sans vieillissement en fût de chêne. Le cocktail le plus connu à base de pisco est le “pisco sour” (prononcer “sahoueur”). A partir de mon expérience personnelle et de nombreux témoignages, j’ai formulé un théorème qu’il est bon de connaître avant le premier verre.
Le langage corporel est couramment parlé au Pérou : cela fait partie des clichés souvent véhiculés sur l’Amérique latine et les Latinos. Je vous parle aujourd’hui spécifiquement de l’abrazo, une composante importante de la beauté des habitants de ce pays et de ce qu’on appelle plus globalement le cariño peruano.
Le trafic à Lima est le sujet tendance n°1 de la conversation “small talk”, d’une part, et l’excuse universelle à tout type de retard, d’autre part. C’est un incontournable et une caractéristique de la ville : on ne peut pas parler de Lima sans parler de son trafic, ce serait comme parler du Pérou sans parler de ses lamas.
Avant d’arriver au Pérou, je ne savais pas quels seraient les must-have culinaires de mon quotidien. Vous savez, ces produits dont on ne peut pas se passer. Je vous raconte ma romance avec un ingrédient désormais toujours présent dans mon placard : le citron vert.